Ici, un problème d'échecs quotidien, vous pouvez choisir parmi 3 niveaux de difficulté croissante. Les problèmes tactiques sont issu du site Chess Tempo.
Vous devez trouver le meilleur coup ou la meilleure combinaison, en déplaçant les pièces. .
Un carré rouge indique qui a le trait
=>Easy(facile), Medium, Hard (difficile) : Cliquer pour changer le niveau de difficulté du problème
=>Attention le bouton Show affiche la solution en notation anglaise (Dame=Queen / Tour=Rook / Cavalier=kNight / Fou=Bishop / Roi=King)
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mardi 25 octobre 2016
Eh oui les singes peuvent apprendre à jouer aux Echecs et même bien jouer
Un chimpanzé gagne une partie d’échecs contre Bernard-Henri Lévy !
Le « philosophe » français a perdu hier une partie d’échecs contre un chimpanzé bonobo âgé de 14 mois seulement. La partie, organisée dans une café parisien, a duré moins de vingt minutes. Mauvais perdant, celui qu’on surnomme « BHL » demande à la France de mener une opération militaire au Rwanda, dans la forêt tropicale d’où est originaire le chimpanzé.
La salle était comble hier lors de la partie d’échecs opposant Bernard-Henri Lévy à un chimpanzé répondant au doux nom « d’El Padre ». Quelques supporters du « philosophe » à la chemise perpétuellement ouverte faisaient face au personnel de la réserve naturelle rwandaise d’où est issu le bonobo. Très vite, les esprits se sont échauffés quand El Padre prit les deux fous de BHL. Un comble pour un homme considéré par beaucoup comme le bouffon numéro un des rois, pardon, des présidents de France.
El Padre domina ensuite le reste de la partie, éliminant une à une les pièces de BHL. Le philosophe enrageait, il ne cessait de triturer la chevelure dont il semble si fier. C’est finalement grâce à un splendide mouvement de dame, combiné à une attaque des tours, qu’El Padre porta le coup de grâce au « philosophe ».
BHL, mauvais perdant, refusa ensuite de serrer la patte de son adversaire. Ce dernier, connu pour son caractère irascible, répliqua en le biflant. « Je n’ai jamais été humilié de la sorte, tempêtait BHL qui aura encore plus de mal à garder un semblant de crédibilité. Au nom de la France, je demande une intervention militaire au Rwanda. Il faut mettre fin au terrorisme animal avant qu’il s’en prenne à d’autres innocentes victimes. »
François Hollande a convoqué un conseil des ministres extraordinaire. L’Élysée s’est toutefois refusée à commenter l’affaire, qui risque de nuire aux relations déjà tendues entre Paris et Kigali.
Le « philosophe » français a perdu hier une partie d’échecs contre un chimpanzé bonobo âgé de 14 mois seulement. La partie, organisée dans une café parisien, a duré moins de vingt minutes. Mauvais perdant, celui qu’on surnomme « BHL » demande à la France de mener une opération militaire au Rwanda, dans la forêt tropicale d’où est originaire le chimpanzé.
La salle était comble hier lors de la partie d’échecs opposant Bernard-Henri Lévy à un chimpanzé répondant au doux nom « d’El Padre ». Quelques supporters du « philosophe » à la chemise perpétuellement ouverte faisaient face au personnel de la réserve naturelle rwandaise d’où est issu le bonobo. Très vite, les esprits se sont échauffés quand El Padre prit les deux fous de BHL. Un comble pour un homme considéré par beaucoup comme le bouffon numéro un des rois, pardon, des présidents de France.
El Padre domina ensuite le reste de la partie, éliminant une à une les pièces de BHL. Le philosophe enrageait, il ne cessait de triturer la chevelure dont il semble si fier. C’est finalement grâce à un splendide mouvement de dame, combiné à une attaque des tours, qu’El Padre porta le coup de grâce au « philosophe ».
BHL, mauvais perdant, refusa ensuite de serrer la patte de son adversaire. Ce dernier, connu pour son caractère irascible, répliqua en le biflant. « Je n’ai jamais été humilié de la sorte, tempêtait BHL qui aura encore plus de mal à garder un semblant de crédibilité. Au nom de la France, je demande une intervention militaire au Rwanda. Il faut mettre fin au terrorisme animal avant qu’il s’en prenne à d’autres innocentes victimes. »
François Hollande a convoqué un conseil des ministres extraordinaire. L’Élysée s’est toutefois refusée à commenter l’affaire, qui risque de nuire aux relations déjà tendues entre Paris et Kigali.
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